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Ñêàðëóï³íà Þ.À.
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«ÓÀÁÑ ÍÁÓ», Óêðà¿íà
Les
technologies de l'information dans l’enseignement du français des
affaires
Les technologies de l'information et de la communication
(TIC) apportent une nouvelle dimension à l'enseignement du
français langue étrangère. La mondialisation n’est pas
seulement un phénomène économique, elle a aussi des
dimensions culturelles et technologiques. Ces échanges ont pour
objectifs d’avoir une meilleure connaissance de l’autre dans le respect de ses
propres valeurs. L’accélération de ces échanges a place
l’apprentissage des langues au premier rang des preoccupations des institutions
d’enseignement car apprendre une langue étrangère devient
incontestablement un atout considérable dans un monde marqué par
ses mutations permanentes. Des lors l’apprentissage des langues
étrangères se voit orienter vers des formations de plus en plus
specialisées pour répondre aux échanges qui deviennent de
plus en plus spécifiques notamment aux niveaux professionnel,
universitaire et même scolaire. D’où l’importance croissante
accordée à l’enseignement des langues specialisées.
L’enseignement des langues étrangères sur
les objectifs spécifiques reste aujourd’hui une des taches les plus
importantes, mais les plus compliqués , car il se distingue par
certaines caractèristiques que tout enseignant doit connaître pour
assurer ce type de cours dits spécifiques. Tout d’abord, c’est la
diversité des publics, les besoins spécifiques et divercifiés
des publics; le temps limité consacré à l’apprentissage, a
rentabilité de l’apprentissage des langues (la situation est un peu plus
simple pour les professionnels qui veulent réussir , leur
carrière dans leurs entreprises en se distinguant de leurs collègues
qui ne maîtrisent pas, par exemple, le français des affaires. Ils
pourront par cette compétence langagière obtenir une augmentation
de leurs salaires ou être promus. Quant aux étudiants, ils veulent
se préparer au mieux au marché du travail).
Toutes les universités ont désormais un
site Web dédié à l'enseignement (www.universites-numeriques.fr). La plupart ont
décidé de faire en sorte que leurs ressources pédagogiques
soient de plus en plus souvent rendues publiques. Selon le ministère de
l'Enseignement supérieur, qui a financé la formation de deux
mille enseignants en la matière, le volume de cours disponibles en
fichiers podcast numérisés, vidéo ou audio, a
triplé entre 2009 et 2010, passant de 12.000 à
30.000 heures.
Une situation d’apprentissage comporte trois pôles
: le formateur (l’enseignant), l’(les) apprenant(s), le contenu. L’enseignant
doit pouvoir réaliser des interactions entre ces trois pôles. Enseigner
aux adultes implique donc de rechercher les moyens les plus facilitateurs et
qui encouragent leur perception de la langue, la mémorisation et la
production. Il est nécessaire de remarquer que ces moyens doivent
être jugés en fonction de leurs résultats et non à
priori.
Il réalise un processus d’animation avec ses
relations avec les apprenants et un processus d’enseignement dans sa relation
avec le contenu ce qui lui permet de transmettre de façon efficace ce
contenu. Dans le cadre des cours de FOS (Français sur objectifs
spécifiques), le concepteur se trouve souvent chargé
d’élaborer des cours dont il ignore plus ou moins le contenu. Alors, il
faut tenir compte d’un principe important du FOS: le concepteur ne doit pas
nécessairement maîtriser la specialité du contenu parce que
ce n’est pas sa mission. Celle-ci consiste à préparer ses apprenants
à faire face aux situations communicatives prévues à
travers des activités langagières. Mais il faut que le concepteur
passe par une etape de familiarisation avec la specialité
professionnelle en vue d’en connaître les grandes lignes, la structure, le
fonctionnement, les acteurs, les situations d’usages, le lexique
récurrent, etc. Cette étape a pour objectif d’aider le concepteur
dans l’élaboration des cours. Pour ce faire, le concepteur peut
contacter des spécialistes, lire des revues spécialisées, consulter
des sites Internet, assister aux colloques ou aux conférences dans le
domaine visé et enfin se rendre sur les lieux des situations de
communication prévues.
La formation du FOS peut voir le jour grâce
à deux facteurs essentiels. Le premier concerne la demande de formation
qui est souvent formulée par une institution professionnelle ou
universitaire. Elle demande à un formateur ou à un centre de
formation de préparer un programme du FOS pour certains apprenants dans
sa spécialité professionnelle ou universitaire donnée.
Quand la formation est demandée, cela aide le formateur ou le concepteur
de programme à mieux connaître les besoins de ses apprenants. On
peut citer des cas de demandes de formation: un groupe de comptables argentins
passeront un stage à la Chambre du Commerce et d'Industrie de Paris
(CCIP). Ils demandent à un centre de langue de les préparer
à comprendre les cours, lire des livres, prendre contact avec d'autres
lors du stage prévu, etc. Le deuxième facteur s'inscrit dans le
cadre de la politique de l'offre qu'adoptent plusieurs centres de langue ou
certains auteurs des manuels. Dans ce contexte, l'offre de la formation essaye
de cibler un public plus large en proposant une formation thématique.
Par exemple, sur le marché, on trouve des manuels intitulés
Affaires.com, Santé.médecine.com, Le Français juridique,
etc. Dans ces manuels, l'accent est mis plus sur les thèmes
récurrents dans chaque spécialité proposée que sur
les situations cibles de la formation. On trouve également des centres
soit en France soit à l'étranger qui proposent des formations du
FOS notamment dans les domaines les plus demandés tels que le
français des affaires, le français du tourisme et le
français juridique.
Depuis 2006, des institutions de formation de langue
proposent des diplômes en FLP (Français Langue Professionnelle).
C’est le cas de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris (CCIP) qui
propose le Certificat de Français Professionnel 1 et 2 (CFP1 et 2). Par
exemple les titulaires du CFP1 peuvent comprendre et s’exprimer dans les
situations les plus simples de la vie sociale et professionnelle. Le CFP1
valide aussi une compétence de français de niveau A2 selon le
Cadre européen commun de références. Il correspond à
150-200 heures d’apprentissage pour acquérir un niveau minimum de
compétences communicatives permettant une communication
élémentaire dans le monde du travail. Il est à souligner
que le CFP1 vise à développer les quatre compétences communicatives.
Pour la compréhension écrite, il s’agit de comprendre le sens
général de certains documents professionnels et d’articles de
presse simples comportant un lexique familier, pour l’expression écrite,
de rédiger des messages professionnels courts sans complication en
rapport avec l’activité professionnelle. Quant à la
compréhension orale, elle a pour but de comprendre l’essentiel d’un
message court et habituel en face à face ou au téléphone
et enfin l’expression orale, elle consiste à décrire avec un langage
simple son expérience, son activité, à échanger des
informations factuelles, à exprimer son opinion, , etc.
Pour former les apprenants en CFP1, la CCIP propose un
programme qui repose sur six axes principaux :
a. Les relations sociales et professionnelles (saluer,
remercier, féliciter, prendre congé, s’informer, parler de son
travail, de son expérience, de ses projets professionnels, présenter
ses collègues, leur fonction, présenter succinctement
l’entreprise et son activité);
b. L’environnement professionnel (parler du cadre et des
conditions du travail, décrire une journée de travail habituelle
ou un emploi de temps particulier);
c. Les fonctions de l’entreprise (demander ou donner des
informations sur l’entreprise, comprendre et expliquer un processus simple, s’informer
ou informer sur les prix, noter et transmettre les messages des clients, passer
des commandes simples);
d. Les tâches administratives (accueillir les
visiteurs ou les clients, prendre, reporter ou annuler un rendez-vous, participer
à l’organisation de déplacements professionnels, renseigner ou se
renseigner sur la date ou le lieu d’une manifestation professionnelle (une
exposition par exemple);
e. La communication téléphonique (prendre
et transmettre des messages simples, maintenir et établir le contact, identifier
l’interlocuteur et comprendre sa demande, orienter les appels);
f. La communication écrite (lire et comprendre des
documents simples, compléter et remplir des formulaires simples dans le
cadre de la vie professionnelle, prendre des notes, rédiger des courts
messages à partir d’indications fournies.
Parallèlement, la CCIP propose aussi d’autres
certificats pour des spécialités plus pointues dans le monde
professionnel. Nous en citerons à titre d’exemple le Diplôme du
Français Médical (DFM), le Certificat de Français du
Secrétariat (CFS), le Certificat de Français du Tourisme et de
l’Hôtellerie (CFTH) et le Certificat de Français Juridique (CFJ)
ainsi que les Diplômes du Français des Affaires 1 et 2 (DFA 1 et
2) et le Diplôme du Français des Affaires Approfondies (DAFA). Ces
diplômes suivent la même méthodologie du CFP
déjà mentionnée pour développer les
compétences communicatives des apprenants dans des domaines plus
spécifiques.
L’enseignement moderne du Français Langue Etrangère peut utiliser les TICE (Technologies de l’Information et
de la Communication pour l’Education).
Les TICE
regroupent un ensemble d’outils conçus et utilisés pour produire,
traiter, entreposer, échanger, classer, retrouver et lire des documents
numériques à des fins d’enseignement et d’apprentissage. Parmi
les TICE, il y a le TBI (tableau
blanc interactif) ou le TNI
(tableau numérique interactif). Il s’agit d’un dispositif alliant
les avantages d’un écran tactile et de la vidéoprojection. Les
apports d’internet pour l’enseignement/apprentissage des langues se
définissent comme moyen de communication ou source d’informations.
En raison du foisonnement actuel autour du
numérique, le nombre des sites
et des pages conçus pour l’apprentissage du français langue
étrangère, quelle que soit leur nature, ne cesse d’augmenter sur
internet. Dans la mesure où l’accès à ce réseau des
réseaux devient une affaire quotidienne pour des millions de personnes,
il n’est pas étonnant de voir les apprenants recourir à ces nouvelles
ressources qui sont à leur portée.
Une question essentielle est de savoir si ces ressources sur internet sont
d’une qualité satisfaisante et digne d’attention.
D’après Sachiko
Komatsu, les caractéristiques
marquantes d’internet pour l’application pédagogique dans le domaine des
langues sont le multimédia, l’interactivité, la
référencialité et la communication.
Pour ce qui est du multimédia, les documents
écrits sont les bases du cyberespace, sur lesquels se basent tous les
hyperliens. Le traitement des autres sources que l’écrit n’est pas aussi
simple, mais devient de plus en plus aisé et courant grâce aux
formats compressés et au streaming. Cette synergie entre l’écrit,
l’image fixe, le son et la vidéo fait d’internet un moyen
privilégié pour l’apprentissage des langues. Outre le confort que
donne la présentation graphique, les informations visuelles jouent un
rôle important au niveau stratégique de la réception.
L’intégration des sources sonores ou vidéo permet une
exploitation pour travailler les compétences orales.
Quant à l’interactivité, il est possible
d’inclure dans la syntaxe des pages internet des objets qui interagissent
à l’action de l’utilisateur. Ainsi, en déplaçant le
curseur de la souris sur un objet ou en cliquant sur un bouton, l’utilisateur
peut voir changer l’objet sur l’écran, un commentaire s’afficher, ou
démarrer un téléchargement de fichier (son, vidéo,
etc.), conformément aux prévisions du rédacteur. Cette
fonction a un effet intéressant dans les pages d’apprentissage : attirer
l’attention de l’apprenant sur une information donnée et offrir des
outils complémentaires. Pour l’apprentissage du français,
remarquable est la croissance récente du nombre des sites
intégrant des exercices ayant la fonction de vérification
automatique et immédiate des réponses. La toile permet
également de proposer et organiser des activités en se
référant aux sites extérieurs, poser des questions sur des
informations que les apprenants doivent recueillir sur un ou plusieurs sites
donnés. Ce type d’activité basée sur la recherche
dirigée offre une dimension culturelle intéressante à
l’apprentissage.
Vinciane Vanderheyde, participant au projet FORMACOM, propose quelques règles
pour l’utilisation d’Internet en classe de FLE, qui constitue un
avantage seulement dans la mesure où il contribue à
développer la compétence de communication des
apprenants :
a.
Utilisez
l'internet pour entraîner les quatre compétences
L'exploitation pédagogique la plus évidente
de sites internet est de les faire consulter par les apprenants dans le but de
rechercher des informations. Les élèves réalisent alors
une activité de lecture sélective ou globale. Il existe de
nombreux sites avec des documents audio-(visuels) permettant des
activités de compréhension orale. Certaines chaînes de
radio et de télé disposent aussi d'un site traitant les sujets de
l'actualité abordés sur les ondes. L'expression écrite
peut également être entraînée sur le web. Mis
à part les forums de discussion, de plus en plus de sites offrent un
espace où l'internaute peut donner son avis, écrire un message,
faire de l'écriture créative.
b. Intégrez l'activité
Internet dans un ensemble d'activités d'apprentissage
Les activités de recherche d'information et de
lecture sur Internet ne seront pas isolées. Elles prendront tout leur
intérêt si elles sont précédées (et suivies)
d'autres activités d'expression orale et écrite qui permettront
de créer le contexte nécessaire à la réalisation de
la tâche. L'ensemble des activités visent à
développer les connaissances et compétences linguistiques,
sociolinguistiques (adéquation du discours à la situation de
communication), discursives (fonctionnement des textes),
référentielles (du monde) et socioculturelles (connaissance des
cultures et des sociétés francophones).
c. Augmentez le degré
d'implication des élèves
L'internet est un médium passionnant pour
professeurs et élèves en raison de la richesse des documents
authentiques et actuels qu'il offre. Grâce à l'internet, le monde
de la francophonie entre dans la classe et la langue française acquiert
le statut de langue vivante de communication contemporaine partagée par
des locuteurs d'origine sociale, culturelle et ethnique différente. La
nature du médium contribue donc largement à la motivation des
élèves et des professeurs.
d. Augmentez la communication entre
les élèves
Travailler en classe avec Internet, ce n'est pas lire
tout seul sur un écran. L'utilisation de cet outil dans les cours n'est
utile que si elle favorise le développement des compétences de communication
de l'élève en FLE (en employant les principes comme le déficit d'information, le travail
de groupe, une limite du temps de recherche d'informations, etc).
e.
Adaptez la
tâche au niveau des élèves
L'internet est exploitable même avec des
débutants. Cela dépend de la tâche que vous assignez aux
élèves. C'est la tâche qui fait la difficulté plus
que le document, même si certains documents sont plus complexes que
d'autres.
f.
Exploitez la
dimension visuelle de l'outil
Les photos, les images, les illustrations, les
vidéos et les animations (aspect interactif) sont autant d'indices
contribuant à conférer du sens au texte écrit à
l'écran. Contrairement aux autres média, les sites Internet
offrent souvent trois canaux complémentaires d'accès au sens :
images (animées ou non), texte écrit et commentaire oral.
g. Prévoyez des tâches supplémentaires
pour les apprenants rapides
C'est encore un fois le principe de la
différentiation. La flexibilité d'emploi de l'outil rend moins
contraignantes les différences de rythme de travail des apprenants pour
les élèves et pour le professeur qui aura moins de mal à
gérer sa classe s'il prévoit une occupation édifiantes
pour les élèves les plus doués en français.
h. Sauvegardez vos sites
préférés sur un CD-rom
Le site Internet est un média
éphémère. C'est ce qui fait en partie son attrait mais
aussi sa difficulté pour les professeurs désireux de garder les
informations quand ils ont élaboré des exploitations
pédagogiques. Alors la solution, c'est de sauvegarder sur CD-rom vos
sites préférés.
i.
Vérifiez
la qualité de l'information
La qualité de certains sites laisse à
désirer pour la simple raison que tout un chacun peut réaliser
son propre site et qu'il n'y a pas de contrôle de qualité. Il faut
donc privilégier les sites officiels.
j.
Prenez plaisir
à enseigner avec Internet
Le travail avec Internet et, en général,
avec des documents authentiques actuels, leur permet aussi de continuer
à apprendre ensemble avec leurs élèves et à rester
motivés dans l'exercice de leur métier.
L’enrichissement des ressources sur la toile va
inévitablement s’accélérer dans l’avenir. Beaucoup
d’enseignants vont se lancer dans la création de leur propre site pour
l’apprentissage du FLE, les barrières technologiques et techniques
étant en train de tomber grâce, entre autres, au
développement de logiciels éditeurs simples d’utilisation. Comme
on donne des devoirs sur papier, il est aujourd’hui possible de les mettre en
ligne.
On peut citer a titre d’exemple: Alsic5, Agence
Universitaire de la Francophonie6 et Les Langues Modernes7, LE FOS.COM, Centre de ressources pour le français sur objectifs
spécifique, Création d'entreprise, Le Français en affaires
au Québec et en Amérique du Nord (Québec:
Université MacGill, Chambre de Commerce du Québec et
Université du Québec è Chicoutimi (le site propose
quelques dossiers pédagogiques thématiques, des activités
écrites et orales, des exercices de grammaire, de vocabulaire et de
stylistique, des index, etc., bref un matériel pédagogique de
niveaux intermédiaire et avancé qui peut être utilisé
en classe, au laboratoire ou à la maison), Rédaction de CV
(Emploi.com, site des affaires et des professions (Chambre de Commerce et
d'Industrie de Paris, France)
Ces sites présentes les
formations, les examens, et offrent documentation pédagogique en ligne. Ils
sont devenus des outils précieux pour tout enseignant
chargé d’élaborer des cours de FOS.
Avec l'entrée de nouvelles technologies dans le
domaine de l'enseignement/apprentissage, il est important de profiter de leurs
apports dans le domaine de FOS. Vu les difficultés de
l'enseignement/apprentissage de FOS, ses apprenants éprouvent le besoin
d'avoir recours aux TIC en vue de faciliter leur apprentissage. De leur
coté, les formateurs et les concepteurs peuvent en tirer profit dans la
mesure où ils peuvent superviser plusieurs apprenants à distance sans
être soumis à des contraintes temporelles ni spatiales. Dans ce
contexte, on propose ce site qui est consacré complètement
à l'enseignement/apprentissage du FOS dans le but de faciliter ce type
du FLE pour les enseignants aussi bien que pour les apprenants.
Littérature
1. Komatsu S. Une analyse pédagogique et technique de sites internet
pour un emploi en autonomie des apprenants du F.L.E.// http://skomatsu.free.fr/articles
2. Le professeur en classe de FLE// Alliance Française de Sydney. - http://www.echo-fle.org/COURSES/DocumentsDidactiques/ProfesseurdeFLE
3. Pech M.-E. Le boom des cours gratuits sur Internet à
l'université // http://www.lefigaro.fr/actualite-france
4. Qotb A. Vers une didactique du français sur objectifs spécifiques
médié par Internet/ Qotb A.// Université Montpellier III -
Paul Valéry.- 2008
5. Vanderheyde V. Dix règles d’or pour l’utilisation de l’internet en
classe de FLE// http://www.form-a-com.org